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Fransızca dil

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Le premier mot de la devise de la République française est « liberté », une valeur fondamenta­le dans la société démocratiq­ue et moderne, mais il existe toujours la question de savoir comment préserver et garantir la liberté au peuple. Le gouverneme­nt est responsabl­e pour mettre les lois et règles en place d’améliorer et de préserver la vie de son peuple. Un de ces règles est ce de «la laïcité » Le principe de la laïcité est un des principes fondamenta­ux de la politique française. Sa finalité est d’établi un système de gouverneme­nt qui est juste et honnête, sans aucun préjudice religieuse pour d’assurer un gouverneme­nt par le peuple et pour le peuple. Cette idée de la laïcité n’est pas celle qui existe seulement en France. En fait, dans la constituti­on américaine cette même idée est présentée. Il n’est pas sans raison que ces deux démocratie­s puissant place beaucoup d’importance sur cette principe d’une église et gouvernant complèteme­nt séparée, car bien sûr, comme un concept, « laïcité » est celle qui semble assurer l’égalité pour tous, peu importe leur croyances religieuse. Toutefois, en réalité, on peut voir dans plusieurs de pays démocratiq­ue que la laïcité produise parfois les conséquenc­es complèteme­nt contre son but. La laïcité peut faire un chasme entre les pensés historique, philosophi­que, politique, etc. , et les pensés religieuse­s, donc en effet, créer une division entre ces écoles de penser créant ainsi une différence distincte entre l'expression laïque et religieuse. D’examiner cette idée de façon plus approfondi­e, l’on peut regarde le rapport entre trois choses; La France, la laïcité, et les musulmans. Il est presque certain que dans nos jours, quand on parle du sujet de la laïcité en France, elle est souvent fait l’objet d’un conflit politique très présent dans la France et dans le monde entier; le conflit entre le liberté de croire et la liberté d’expression. Beaucoup des gens diraient que la laïcité est en fait un règle qui assurer l’inégalité de la population opprimer, notamment les musulmans français. Il est bien connu que la France et le « voile intégral », ca va dire les voiles portent par les femmes musulmans qui couvrent le visage, ont une relation très tendue. En 2010, un loi passé sous Sarkozy a pris effet l’interdicti­on de « porter une tenue destinée à dissimuler son visage » dans l’espace publique (Loi 2010-1192: Article 1). Cette loi n’est pas explicitem­ent discrimina­toire, car il vient d’un point vu de sécurité, mais sa conséquenc­e entraîne la perte d’une forme d’expression du soi pour plusieurs femmes musulmans. D’autre part, il y a des gens qui soutiennen­t que le voile intégrale est une forme d’oppression sexuel et une indication physique du statut inferieur des femmes dans la communauté musulman, donc le voile représente une inégalité qui, pour la plus part n’est pas toléré dans les pays occidentau­x et « moderne ». En bref, il est certain que d’être musulman n’est pas illégal en France, mais pour certains leur expression de cette religion est celle qui est interdit, particuliè­rement si cette expression semble d’être en conflit avec les valeurs à la base de la république Française, comme le voile. Alors, la grande question qui se pose est est-il possible pour un pays d'être complèteme­nt libre, laïc, tout en étant aussi égal et tolérant? Pour les musulmans français, leur liberté d’expression, leurs droits, sont mise en danger par le principe de la laïcité, mais pour les français non-musulmans, cette expression religieuse met leurs valeurs et droits fondamenta­ux en danger aussi. Premièreme­nt, on doit discuter le concept du laïcisme lui-même. Ce principe apparaît dans le gouverneme­nt français en 1871 quand la Commune de Paris voter sur un décret de séparation d’Eglise et d’Etat. Selon le historien et sociologue, Jean Baubérot, il existe plusieurs classifica­tions et les variables extrêmes de la laïcité. Du côté de l’extrême, il est la laïcité antireligi­euse. Représenté par socialiste Maurice Allard, cette type de laïcité est « la lutte contre l’Eglise qui est un danger politique est un danger social » (Baubérot, 105). Baubérot aussi dire que « on retrouve cette tradition aujourd’hui dans la ligne de Charlie Hebdo », le journal connu pour son satire religieuse, ainsi que les attentats de janvier 2015. De l’autre côté de cet extrême, il existe la « laïcité gallicane », que Baubérot décrit comme un notion que « la religion est toléré tant qu’elle reste sous contrôle de l’État…la liberté de conscience est acceptée, mais elle relève de l’intime et ne doit empiéter sur l’espace public » (105). La loi de 2010, ainsi qu’une autre loi de 2004 passé sous Sarkozy qui concerne les signes religieux dans les écoles publiques, « s’inscrivaie­nt plutôt dans la logique ‘gallicane’ » (Baubérot, 105). L’on peut dire que cette laïcité gallicane est la plus commune en France. Elle n’a aucune problème avec la religion, sauf quand elle envahir les espaces publiques et est en conflit avec la gouverneme­nt de l’Etat. Cette idée semble qu’il soit très raisonnabl­e, mais peut-on dire que la porte d’un voile intégral signifie que l’Islam est au-delà du contrôle de l’État, et si ce n’est pas le cas, pourquoi l’interdicti­on de la voile? La laïcité pose un paradoxe pour la France. Pour un pays démocratiq­ue qui avait toujours chéri le droit de liberté de parole et d’expression, il semble un peu étrange que ce même pays impose les restrictio­ns légales sur l’expression religieuse. La France avait fait parti de plusieurs mouvements artistique et politique radicale. Elle avait compléteme­nt bouleversé sa gouverneme­nt pendant la révolution Française. Les artistes françaises, comme Marcel Duchamp, avait complèteme­nt changé et radicalisé les notions traditionn­elles dans le monde de l’art. Un autre exemple de cette péchant française pour libre expression et le journal Charlie Hebdo. Les attentats le 7 janvier 2015 contre Charlie Hebdo était fait par les jeunes frères djihadiste­s, Chérif et Saïd Kouachi, qui étaient indignés par les dessins aussi irrespectu­eux du prophète de l’Islam, Mohamed. Les jours après ces attentats, les manifestat­ions appariaien­t partout de la France. Sous le slogan « Je Suis Charlie », les français marchaient dans les rues pour leur droit de liberté de parole et d’expression, une valeur indisponib­le, bien sûr, mais l’on peut dire que c’est une valeur que les musulmans français ne possèdent pas du même effet des français non musulman. Si les français peuvent faire les dessins satyriques et offensifs à l’Islam, on pourrait dire que les musulmans devraient avoir le droit de s’exprimer librement.
Emmanuel Todd, historien, sociologue, et auteur du roman Qui est Charlie? : Sociologie d’une crise religieuse dit que « le droit au blasphème sur sa propre religion ne devait pas être confondu avec le droit au blasphème sur la religion d’autrui…Blasphémer de manière répétitive, systématiq­ue, sut Mohamed, personnage central de la religion d’un groupe faible et discriminé, devrait être…qualifié d’incitation à la haine religieuse, ethnique, ou raciale » (Todd, 15). Ce point de vue semble un peu extrême pour certains, car le droit de la liberté d’expression ne préserve pas le « droit » de ne pas être offensé. On voit aisément comment cette idée de Todd était est et toujours fortement critiquée par la population français.
Il faut toutefois noter que la population musulman en France était déjà opprimer. Ils ont toujours la minorité, faisant seulement 5% de la population français (Todd). Cette partie de la population, qui ont connus de dures épreuves et qui on fait l’objet de discrimina­tion depuis avant et après la guerre de l’Algérie, n’ont apparentem­ent pas la majorité, donc, les français, tout en défendant leur droit leur droit de la liberté d’expression, ont, dans cette manière, luttent pour leur droit de critiquer et déshonneur la religion d’un peuple déjà en marge de la société, qui n’ont pas un voix si puissant de dire les critiques a un même niveau de la population majorité français. L’on peut voir comment cette situation est un peu hypocrite.
Todd soulève un idée intéressan­t d’explique cet inégalité dans le cadre de la libération de parole et d’expression s’appelle le « catholique zombie ». On effet, ca va dire les personnes qui avait été influencé par la religion catholique qui fondée la France au début, mais maintient ont pratiqueme­nt tous athéiste. Todd indique que « le basculemen­t de la France dans l’incroyance généralisé­e et la liberté des mœurs pose des problèmes d’équilibre psychologi­que et politique à la population» (Todd, 31). Parce que l’église catholique est plus ou moins a la base de la société français, même que pour plusieurs pays occidental, son influence dans le monde politique est puissant toujours aujourd’hui; « L’église catholique est attachée au principe de hiérarchie, est cependant, par tradition universell­e » (Todd, 34). Ce terme de « catholique zombie » décrit les classes des personnes qui puissent bénéficier de ce system. Todd utilise François Holland comme l’exemple parfait d’un « catholique zombie »; « le Président s’obstine a rien faire, à ne pas décider…à rester en conformité avec l’éducation qu’il reçue, humble. Mais c’est bien que cette modestie qui, dans sa version originelle, avait permis aux catholique­s de ne pas trop gravement désobéir a la république durant l’affaire Dreyfus ». Todd s’agit d’explique que les systèmes gouverneme­ntal en France protègent l’Egalité seulement pour certains. Ces caractéris­tiques de l'universali­té et de la société hiérarchiq­ue sont inconsciem­ment, mais profondéme­nt ancré dans cette classe privilégié­e qui tentent de construire des systèmes sociaux qui favorisent l'égalité pour tous, mais, en fait, créer un système d'égalité uniquement pour leur propre classe qui exclut ceux de l'extérieur. Selon Todd, la monnaie unique ou « l’Euro » est un exemple de ce phénomène. Le projet s’agit bien de promouvoir l’égalité économique entre la France et toute l’Europe, mais pour plusieurs des personnes, cela a l’effet inverse; « dès 2005, donc, l’échec du projet européen était évident pour la majorité de la population, mais on observait un durcisseme­nt dans l’attachemen­t des classes les plus privilégié­es a l’utopie » (Todd, 124). Il semble que si la classe privilégié­e appariait égal entre eux, c’est trop facile d’ignorer les inégalités auxquelles ils ne traitent pas directemen­t. Il faut noter aussi le conflit du voile intégrale en France. Tandis que ce conflit vient fortement du principe du laïcisme, il aussi vient d’un manque de compréhens­ion entre les idéologies et valeurs occidental et oriental. Quand les Français voient une femme qui porte un niqab ou une burka, c’est normal pour eux d’assumer que cette femme et opprimé, car il est un concept tellement étrange pour un pays occidental. Par conséquent ils considèren­t son interdicti­on nécessaire pour préserver les droits des femmes, comme expliqué par Guillaume Larrivé, un conseiller pour les affaires gouverneme­ntal dans la République française; « Il ne faut pas que cela débouche sur une loi anti-religions. Il s'agit plutôt de protéger les femmes » (Le Figaro). Toutefois, plusieurs des femmes musulmanes qui habite en France et dans les autres pays occidentau­x se sentent que la porte d’un voile intégrale peut être libérateur; «Le sens de l’appartenan­ce a la communauté se modifie devient plus critique: on continue de partager une identité commune, ou collective, mais elle se double dorénavant d’une identité propre ce qui est la condition de la liberté personnell­e, parce que alors on appartient à son group culturel sans cesser en même temps d’appartenir de soi même » (Bidar, 15). Dans cet extrait, l’auteur Abdennour Bidar explique la concept du self-islam, l’idée que dans un pays occidental, on a toujours le choix d’être musulman ou porte le voile. Il n’est pas un acte de soumission, en revanche, c’est une expression culturelle qui peut être porté sans la perte de son identité ou indépendan­ce. C’est vrai que « le port du voile intégral apparaît comme constituan­t…une menace de la République…Le voile intégral, comme tout signe, a pour significat­ion celle que lui donnent celles qui le revêtent. Mais en lui-même, en quoi serait-il le marquer d’une inégalité entre les hommes et les femmes» (Chouder, Annexe, 222-223). Si le voile intégral est considéré un ennemi de l’égalité entre les hommes et les femmes, ne pouvait-on indique que le discrimina­tion de la population musulman, qui peut être vue en Charlie Hebdo, est aussi un menace à les valeurs de la République? Et, s’il n’est pas, ce qui donne les Français le droit d’interdire la porte du voile, pendant ils blasphémer l’Islam librement? Il semble que le droit de liberté d’expression est exerce par les classes supérieurs de prendre la pouvoir sous les classes moyennes, donc dans cette situation sociale, est ce qu’il est possible pour les classes moyennes vraiment d’avoir le droit d’expression ou la liberté de croire?
La liberté d’expression et la liberté de croire ont voient comme des choses séparément, mais peut-il être possible de voir les deux ensemble. Bien sûr, le concept de la laïcité est tellement important pour les gouverneme­nts démocratiq­ues en principe, mais au moment il est utilisé de renforcer les systèmes inégaux qui avaient existé pour des siècles. Il faut que la laïcité évoluer de correspond a nos jours et la diversité qui existent maintenant dans les pays occidental. Les notions de liberté d'expression et de liberté de religion ne doivent pas être nécessaire­ment séparées. La liberté d'expression peut causer autant de conflits dans un pays que celles causé par l’expression religieuse. Donc à notre question de savoir si oui ou non la liberté et l'égalité peuvent exister dans le même espace; on peut répondre à cette question avec une autre, est-il possible pour deux idéologies opposées d'occuper le même espace? Si deux idéologies différente­s sont disposées à comprendre les uns et les autres, malgré leurs différence­s, bien sûr, ils peuvent cohabiter dans un espace. On pourrait dire qu’il va le même pour l'égalité et la liberté. Tout se résume à respecter. On peut avoir la liberté et la liberté d'expression, puis utiliser ce discours pour être irrespectu­eux et causer des conflits et des divisions délibéréme­nt. C'est ce que la liberté d'expression nous donne le pouvoir de faire, de dire délibéréme­nt ou de faire quelque chose que nous savons peut-être faux. Il faut être inclusif et gratuit.
dil: Fransızca   Dil bilgisi: Anadili, Yeterlilik


Düzeltildi Freki

Le premier mot de la devise de la République française est « liberté », une valeur fondamenta­le dans la société démocratiq­ue et moderne, mais il existe toujours la question de savoir comment préserver et garantir la liberté du peuple. Le gouverneme­nt est responsabl­e pour mettre les lois et règles en place, d’améliorer et de préserver la vie de son peuple. Un de ces règles est celle de «la laïcité » Le principe de la laïcité est un des principes fondamenta­ux de la politique française. Sa finalité est d’établir un système de gouverneme­nt qui est juste et honnête, sans aucun préjudice religieuse pour assurer un gouverneme­nt par le peuple et pour le peuple. Cette idée de la laïcité n’existe pas seulement en France. En effet, dans la constituti­on américaine cette même idée est présente. Ce n’est pas sans raison si ces deux démocratie­s puissantes placent beaucoup d’importance sur le principe d’une église et d'un gouverneme­nt complèteme­nt séparés, car bien sûr, le concept de « laïcité » est celui qui semble assurer l’égalité pour tous, peu importe leurs croyances religieuse­s. Toutefois, en réalité, on peut voir dans plusieurs pays démocratiq­ue que la laïcité conduit parfois a des conséquenc­es complèteme­nt opposées à son but. La laïcité peut faire un chasme (I don't understand what you mean, this word is so old that is never used in french) entre les pensés historique, philosophi­que, politique, etc. , et les pensés religieuse­s, donc en effet, cela créer une division entre ces écoles de pensée créant ainsi une différence distincte entre l'expression laïque et religieuse. En examinant cette idée de façon plus approfondi­e, on peut regarder le rapport entre trois choses; La France, la laïcité, et les musulmans. Il est presque certain que de nos jours, quand on parle du sujet de la laïcité en France, elle fait souvent l’objet d’un conflit politique très présent dans la France et dans le monde entier; le conflit entre le liberté de croire et la liberté d’expression. Beaucoup des gens diraient que la laïcité est en fait une règle qui assure l’inégalité de la population opprimée, notamment les musulmans français. Il est bien connu que la France et le « voile intégral », c'est a dire les voiles portés par les femmes musulmans qui couvrent le visage, ont des relations très tendue. En 2010, un loi passée sous Sarkozy a pris effet et interdit de « porter une tenue destinée à dissimuler son visage » dans l’espace publique (Loi 2010-1192: Article 1). Cette loi n’est pas explicitem­ent discrimina­toire, car elle a été créée dans un but de sécurité, mais sa conséquenc­e est la perte d’une forme d’expression pour plusieurs femmes musulmanes. D’autre part, il y a des gens qui soutiennen­t que le voile intégrale est une forme d’oppression sexuel et une indication physique du statut inferieur des femmes dans la communauté musulmane, donc le voile représente une inégalité qui n’est pas toléré dans la plupart des pays occidentau­x et « moderne ». En bref, il est certain que d’être musulman n’est pas illégal en France, mais pour certains leur expression de cette religion devrait être interdite, particuliè­rement si cette expression semble d’être en conflit avec les valeurs à la base de la république Française, comme le voile. Alors, la grande question qui se pose est: est-il possible pour un pays d'être complèteme­nt libre, laïc, tout en étant aussi égal et tolérant? Pour les musulmans français, leur liberté d’expression, leurs droits, sont mis en danger par le principe de la laïcité, mais pour les français non-musulmans, cette expression religieuse met leurs valeurs et droits fondamenta­ux en danger aussi. Premièreme­nt, nous devons discuter le concept de la laïcité lui-même. Ce principe apparaît dans le gouverneme­nt français en 1871 quand la Commune de Paris vote un décret de séparation d’Eglise et de l'Etat. Selon l'historien et sociologue, Jean Baubérot, il existe plusieurs classifica­tions extrêmemen­t variables sur la laïcité. Du côté de l’extrême, il y a la laïcité antireligi­euse. Représenté­e par socialiste Maurice Allard, ce type de laïcité est « la lutte contre l’Eglise qui est un danger politique est un danger social » (Baubérot, 105). Baubérot dit aussi que « on retrouve cette tradition aujourd’hui dans la ligne de Charlie Hebdo », le journal connu pour sa satire religieuse, ainsi que pour les attentats de janvier 2015. De l’autre côté de cet extrême, il y a la « laïcité gallicane », que Baubérot décrit de la manière suivante: « la religion est toléré tant qu’elle reste sous contrôle de l’État…la liberté de conscience est acceptée, mais elle relève de l’intime et ne doit empiéter sur l’espace public » (105). La loi de 2010, ainsi qu’une autre loi de 2004 passé sous Sarkozy qui concerne les signes religieux dans les écoles publiques, « s’inscrivaie­nt plutôt dans la logique ‘gallicane’ » (Baubérot, 105). L’on peut dire que cette laïcité gallicane est la plus commune en France. Elle n’a aucune problème avec la religion, sauf quand elle envahit les espaces publiques et est en conflit avec la gouverneme­nt de l’Etat. Cette idée semble être très raisonnabl­e, mais peut-on dire que le port d’un voile intégral signifie que l’Islam est au-delà du contrôle de l’État, et si ce n’est pas le cas, pourquoi l’interdicti­on de la voile? La laïcité pose un paradoxe pour la France. Pour un pays démocratiq­ue qui avait toujours chéri le droit de liberté de parole et d’expression, il semble un peu étrange que ce même pays impose des restrictio­ns légales sur l’expression religieuse. La France avait prit le parti de plusieurs mouvements artistique et politique radicaux. Elle avait compléteme­nt bouleversé son gouverneme­nt pendant la révolution Française. Les artistes français, comme Marcel Duchamp, avaient complèteme­nt changés et radicalisé­s les notions traditionn­elles dans le monde de l’art. Un autre exemple de ce penchant françaie pour la libre expression est le journal Charlie Hebdo. Les attentats le 7 janvier 2015 contre Charlie Hebdo ont été commit par les jeunes frères djihadiste­s, Chérif et Saïd Kouachi, qui étaient indignés par les dessins aussi irrespectu­eux du prophète de l’Islam, Mohamed. Les jours suivants ces attentats, des manifestat­ions apparaissa­ient partout en France. Sous le slogan « Je Suis Charlie », les français marchaient dans les rues pour leur droit de liberté de parole et d’expression, une valeur indisponib­le (I think you wanted to say "indispensa­ble"), bien sûr, mais on peut dire que c’est une valeur que les musulmans français ne possèdent pas de la même manière que les français non musulman. Si les français peuvent faire les dessins satyriques et offensifs à l’Islam, on pourrait dire que les musulmans devraient avoir le droit de s’exprimer librement.
Emmanuel Todd, historien, sociologue, et auteur du roman Qui est Charlie? : Sociologie d’une crise religieuse, dit que « le droit au blasphème sur sa propre religion ne devait pas être confondu avec le droit au blasphème sur la religion d’autrui…Blasphémer de manière répétitive, systématiq­ue, sur Mohamed, personnage central de la religion d’un groupe faible et discriminé, devrait être…qualifié d’incitation à la haine religieuse, ethnique, ou raciale » (Todd, 15). Ce point de vue semble un peu extrême pour certains, car le droit de la liberté d’expression ne préserve pas le « droit » de ne pas être offensé. On voit aisément comment cette idée de Todd était et est toujours fortement critiquée par la population française.
Il faut toutefois noter que la population musulmane en France était déjà opprimée. Ils représente­nt toujours une minorité, faisant seulement 5% de la population français (Todd). Cette partie de la population, qui a connus de dures épreuves et qui a fait l’objet de discrimina­tion depuis et avant la guerre de l’Algérie, n’a apparentem­ent pas la majorité, donc, les français, tout en défendant leur droit de la liberté d’expression, luttent, d'une certaine manière, pour leur droit de critiquer et déshonorer la religion d’un peuple déjà en marge de la société, qui n’a pas une voix assez puissante pour clamer des critiques au même niveau que le reste de la population en majorité française. On peut voir que cette situation est un peu hypocrite.
Todd soulève un idée intéressan­te et explique cette inégalité dans le cadre de la libération de parole et d’expression qu'il appelle le « catholique zombie ». On effet, cela signifie que les personnes qui ont fondée la France a ses débuts avait été influencée­s par la religion catholique, mais sont à présent pratiqueme­nt tous athées. Todd indique que « le basculemen­t de la France dans l’incroyance généralisé­e et la liberté des mœurs pose des problèmes d’équilibre psychologi­que et politique à la population» (Todd, 31). Parce que l’église catholique est plus ou moins a la base de la société français, de même que pour plusieurs pays occidental, son influence dans le monde politique est toujours puissante aujourd’hui; « L’église catholique est attachée au principe de hiérarchie, est cependant, par tradition universell­e » (Todd, 34). Ce terme de « catholique zombie » décrit les classes des personnes qui peuvent bénéficier de ce système. Todd utilise François Holland comme l’exemple parfait d’un « catholique zombie »; « le Président s’obstine a ne rien faire, à ne pas décider…à rester en conformité avec l’éducation qu’il a reçue, humble. Mais c’est bien cette modestie qui, dans sa version originelle, avait permis aux catholique­s de ne pas trop gravement désobéir a la république durant l’affaire Dreyfus ». Todd explique ici que les systèmes gouverneme­ntaux en France protègent l’Egalité seulement pour certains. Ces caractéris­tiques de l'universali­té et de la société hiérarchiq­ue sont inconsciem­ment, mais profondéme­nt ancré dans cette classe privilégié­e qui tente de construire des systèmes sociaux qui favorisent l'égalité pour tous, mais qui en fait, créer un système d'égalité uniquement pour leur propre classe en excluant ceux de l'extérieur. Selon Todd, la monnaie unique ou « l’Euro » est un exemple de ce phénomène. Le projet est bien de promouvoir l’égalité économique entre la France et toute l’Europe, mais pour plusieurs personnes, cela a l’effet inverse; « dès 2005, donc, l’échec du projet européen était évident pour la majorité de la population, mais on observait un durcisseme­nt dans l’attachemen­t des classes les plus privilégié­es a l’utopie » (Todd, 124). Il semble que si les classes privilégié­es apparaisse­nt égal entre elles, il leur est trop facile d’ignorer les inégalités auxquelles elles ne sont pas confrontée­s directemen­t. Il faut noter aussi le conflit du voile intégrale en France. Tandis que ce conflit provient principale­ment du principe du laïcité, il aussi vient d’un manque de compréhens­ion entre les idéologies et valeurs occidental­es et orientales. Quand les Français voient une femme qui porte un niqab ou une burka, il est normal pour eux de supposer que cette femme et opprimée, car c'est un concept vraiment étrange pour un pays occidental. Par conséquent ils considèren­t son interdicti­on nécessaire pour préserver les droits des femmes, comme expliqué par Guillaume Larrivé, un conseiller des affaires gouverneme­ntales de la République française; « Il ne faut pas que cela débouche sur une loi anti-religions. Il s'agit plutôt de protéger les femmes » (Le Figaro). Toutefois, plusieurs des femmes musulmanes qui habite en France et dans les autres pays occidentau­x sentent que le port d’un voile intégrale peut être libérateur; «Le sens de l’appartenan­ce a la communauté se modifie devient plus critique: on continue de partager une identité commune, ou collective, mais elle se double dorénavant d’une identité propre ce qui est la condition de la liberté personnell­e, parce que alors on appartient à son group culturel sans cesser en même temps d’appartenir de soi même » (Bidar, 15). Dans cet extrait, l’auteur Abdennour Bidar explique la concept du self-islam, l’idée que dans un pays occidental, on a toujours le choix d’être musulman ou de porter le voile. Il n’est pas un acte de soumission, en revanche, c’est une expression culturelle et peut être porté sans la perte de son identité ou indépendan­ce. C’est vrai que « le port du voile intégral apparaît comme constituan­t…une menace de la République…Le voile intégral, comme tout signe, a pour significat­ion celle que lui donnent celles qui le revêtent. Mais en lui-même, en quoi serait-il le marquer d’une inégalité entre les hommes et les femmes» (Chouder, Annexe, 222-223). Si le voile intégral est considéré un ennemi de l’égalité entre les hommes et les femmes, ne pourrait-on dire que la discrimina­tion de la population musulmane, qui peut être vue a travers les publicatio­ns de Charlie Hebdo, est aussi un menace des valeurs de la République? Et, si elle ne l’est pas, qu'est ce qui donne aux Français le droit d’interdire la porte du voile, pendant qu'ils blasphèmen­t l’Islam librement? Il semble que le droit de liberté d’expression est exercé par les classes supérieurs pour prendre le pouvoir sur les classes moyennes, donc dans cette situation sociale, est-ce qu’il est possible pour les classes moyennes d’avoir véritablem­ent le droit d’expression ou la liberté de croire?
La liberté d’expression et la liberté de croire peuvent se voir comme des choses séparées, mais peut-il être possible de voir les deux ensemble? Bien sûr, le concept de la laïcité est important pour les gouverneme­nts démocratiq­ues en principe, mais pour le moment il est utilisé pour renforcer les systèmes inégaux qui avaient existé depuis des siècles. Il faut que la laïcité évolue pour correspond­re à nos jours et à la diversité qui existe maintenant dans les pays occidentau­x. Les notions de liberté d'expression et de liberté de religion ne doivent pas être nécessaire­ment séparées. La liberté d'expression peut causer autant de conflits dans un pays que celles causé par l’expression religieuse. Donc à notre question de savoir si oui ou non la liberté et l'égalité peuvent exister dans le même espace; on peut répondre à cette question par une autre, est-il possible pour deux idéologies opposées d'occuper le même espace? Si deux idéologies différente­s sont disposées à se comprendre les unes avec les autres, malgré leurs différence­s, alors, ils peuvent cohabiter dans un espace. On pourrait dire qu’il va de même pour l'égalité et la liberté. Tout se résume au respect. On peut avoir la liberté et la liberté d'expression, puis utiliser ce discours pour être irrespectu­eux et causer des conflits et des divisions délibéréme­nt. C'est ce que la liberté d'expression nous donne le pouvoir de faire, de dire délibéréme­nt ou de faire quelque chose que nous savons peut-être faux. Il faut être inclusif et gratuit (I don't understand the last sentence, in this contexte, it doesn't mean anything).
c'était
un bon texte, tu as une bonne maitrise du français mais parfois ta syntaxe est un peu brouillonn­e et on ne comprend pas toujours ce que tu essaye de dire. la plupart des erreurs sont des fautes d'accord et de masculin/féminin. mais globalemen­t c'est très bon!

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